Voici une déclaration que j'ai signé avec mes camarades de la GUE

1. Pendant au moins 1.500 migrants sont morts jusqu'à présent en 2015 avec plus de 900 migrants craignaient avoir noyé le 18 Avril, la Commission et les États membres de l'UE ne peuvent pas rester passif et la nécessité d'opérer un changement radical dans les politiques de migration et d'asile.

2. La Commission et les États membres de l'UE sont appelés à cesser d'augmenter le budget de FRONTEX au nom de la recherche et de sauvetage comme FRONTEX mandat ne recherche et de sauvetage, mais la surveillance des frontières.

3. La Commission et les États membres de l'UE sont appelés à effectuer une opération de recherche et sauvetage européen robuste dans la Méditerranée qui inclurait bateaux stationnés dans les hautes mers.

4. La Commission est invitée à faire des propositions pour garantir l'accès légal et sécuritaire à l'UE pour les demandeurs d'asile et des migrants.

5. La Commission est invitée à proposer des alternatives radicales au règlement de Dublin.

6. La Commission est appelée à cesser de coopérer avec les pays tiers qui ne respectent pas les droits humains, à restreignent les flux migratoires et d'arrêter toute politique de refoulement collectif implicite.

7. Cette déclaration, accompagnée du nom des signataires, est transmis à la Commission.

700 migrants ont péri en Méditerranée ce dimanche. Ce nouveau drame porte à plus de 1 600 le nombre de morts enregistrés par l'Organisation Internationale des Migrations (OIM) en Méditerranée depuis le début de l'année, contre 47 pendant la même période en 2014.

Que compte faire la Commission pour faire cesser ce drame humain aux portes de l'Europe ?

En novembre 2014 l'Europe a mis en place l'opération Triton qui, pour un budget de 3 millions d'euros par mois, prend en charge la surveillance des frontières extérieures méditerranéennes via l'agence Frontex. Avant cette opération Triton, c'était l'Italie, seule, qui assurait cette surveillance, dans le cadre de son opération Mare Nostrum, pour un coût mensuel de 9,3 millions d'euros.

La Commission envisage-t-elle à minima d'augmenter le budget de l'opération Triton ?

 Voici la déclaration que j'ai signé

1. L'expression «violence contre les femmes» désigne tous actes de violence fondée sur le sexe qui se traduisent par, ou sont susceptibles d'entraîner, un préjudice physique, sexuelle, psychologique ou économique ou la souffrance pour les femmes, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou arbitraire la privation de liberté, que ce soit en public ou dans la vie privée.
2. La violence contre les femmes englobe les crimes qui ont un impact disproportionné sur les femmes, comme les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le viol, le harcèlement et la violence domestique, et constitue une violation des droits fondamentaux des femmes à l'égard de la dignité, l'égalité et l'accès à la justice.
3. La violence contre les femmes est un obstacle majeur à l'égalité des sexes et est l'une des violations les plus répandues des droits humains, sans distinction de barrières géographiques, financières, culturelles ou sociales.
4. La violence contre les femmes est un problème grave dans l'UE, où une personne sur trois est une femme victime de violence sexuelle et / ou physique.
5. La Commission est donc appelée à établir en 2016 une Année européenne de lutte contre la violence contre les femmes.
6. Cette déclaration, accompagnée du nom des signataires, est transmis à la Commission.

Voici une déclaration écrite que j'ai signé avec mes camarades de la GUE

Entre 1964 et 1992 Texaco Petroleum Company – une société américaine acquise par Chevron en 2001 – a foré et exploité 356 puits de pétrole dans l'Amazonie équatorienne pour obtenir 1 500 millions de barils de pétrole, ouvrant 880 fosses sans revêtement dans le processus. Dans ces fosses Texaco a rejeté des déchets d'huile -principalement, de la boue de forage et les eaux toxiques – qui immensément endommagé l'environnement et détérioré la qualité de vie des communautés locales. L'exploitation du pétrole n'a pas suivi les règlements techniques élémentaires ni utilisé la technologie requise, ce qui était disponible à ce moment-là et même employé par la même entreprise dans d'autres pays.

On estime qu'environ 71 millions de litres de résidus de pétrole et 64 millions de litres de pétrole brut ont été déversés, polluant 2 millions d'hectares dans une des zones les plus riches en biodiversité dans le monde. Le dommage a conduit à la dégradation de l'environnement, la contamination des sources d'eau et la mort de la flore et la faune locales. Pour tout cela, les dommages et pour affecter plus de 30.000 personnes d'Amazonie, la société a finalement été jugé et condamné. Le 12 Novembre 2013, la Cour nationale de justice équatorienne a condamné Chevron-Texaco à payer 9,500 millions de dollars.

Le 23 Septembre 2009 Chevron Corporation est allé à la Cour permanente d'arbitrage de La Haye et a poursuivi l'État équatorien l'accusant de violer ses propres obligations comme écrit dans le traité bilatéral d'investissement signé par l'Équateur et États-Unis en 1992, un traité qui est entré en vigueur en 1997, des années après que la compagnie pétrolière ait cessé de fonctionner dans l'Amazonie équatorienne.
Société américaine Chevron-Texaco a omis de se conformer à l'arrêt juridique et nie sa responsabilité tout en négligeant la voix des humbles et leur demande justice. Au lieu d'honorer la loi, la firme a lancé une campagne bien financée contre la population autochtone endommagé et même contre l'État équatorien.

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Cette semaine c'était la mini-session. 8h de plénière et seulement 6 textes soumis au vote : l'habituel fond d'aide à la délocalisation, des ajustements budgétaires reflétant la mauvaise gestion de l'UE et la reconnaissance du génocide Arménien.

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